lundi 10 mars 2014

Empoisonnement par la dent

Cet article mérite d’être lu, la dent dévitalisée est un organe mort et en principe un organe mort
doit être éliminé ou enlevé   du corps humain ....

Bonne lecture

On parle beaucoup aujourd’hui de nourriture « bio » pour la santé. « Bio » signifie
vivant en grec, c’est donc le contraire de « mort » ou « dévitalisé ». Sachez
qu’avec le« dévitalisé », vous pourriez bien perdre aussi la santé en vous faisant
soigner les dents.Dévitaliser les dents est une pratique si courante chez les dentistes
 que la plupart desfrançais ont aujourd’hui des dents dévitalisées. La quantité de
dévitalisations dentaires,aussi appelées traitements endodontiques, a subi une
 augmentation phénoménale ces dernières décennies dans le monde occidental
 (*). Parallèlement, les maladies graves
ont aussi augmenté de façon très importante. Paradoxalement, des médecins à
l’étranger font extraire les dents dévitalisées de leurs patients avec des résultats
thérapeutiques étonnants. Pourtant en France, cela n’intéresse quasiment
 personnealors qu’aujourd’hui on y dépense des sommes faramineuses pour
soigner, dans destraitements souvent très discutables en plus, à cause des
effets secondaires occasionnés.La dent dévitalisée est une dent dont le dentiste
 a ôté nerfs et vaisseaux sanguins qui se trouvent à l’intérieur de la dent en
les remplaçant par une pâte antiseptique. Grâce à cette technique, on évite
souvent d’extraire des dents qui auraient dû l’être. C’est évidemment le grand
 intérêt de cette pratique apparue au début du vingtième siècle.Forte de ce
 succès qui supprime son image « d’arracheur de dents », la profession
 dentaire ne s’est jamais vraiment intéressée aux éventuelles conséquences
 toxiques de la présence en bouche de dents dévitalisées et la dévitalisation
 des dents est devenue une pratique courante dans tous les cabinets dentaires
En France, presque tout le monde a donc en bouche au moins une dent
dévitalisée. Pourtant la dent dévitalisée est un organe mort comme son nom
 l’indique et normalement notre médecine n’accepte jamais de conserver
 d’organes morts car ils empoisonnent tout l’organisme. Pour la dent dévitalisée,
nous avons fait une exception. Mais y aurait-il des conséquences
fâcheuses sur l’organisme, qu’on aurait oubliées de voir ?
De multiples publications scientifiques au niveau international traitent de ce sujet
polémique inclus dans un domaine plus large appelé l’infection focale dentaire (*).
On y explique que les foyers infectieux dentaires peuvent provoquer toutes
les maladies possibles et inimaginables. Le grand problème est que la dent
dévitalisée peut aussi être considérée comme un foyer infectieux même
 lorsqu’elle semble ne pas poser de problème pour le dentiste. Le professeur
 Boyd Haley, un scientifique américain renommé, a observé que les critères
normalement utilisés par les dentistes (l’absence de douleur ou de signes
 infectieux à l’examen radiologique notamment), pour affirmer qu’une
dent dévitalisée n’est pas toxique, ne sont pas valables (*). Des médecins
 ont constaté que les dents dévitalisées sont très souvent la cause
déterminante d’un grand nombre de maladies chroniques et graves,
puisque les enlever constitue aussi selon eux, la mesure
essentielle pour retrouver la santé. En France, la dent dévitalisée constitue
très probablement une cause importante de cancers. Aussi incroyable que
cela puisse paraître, ce pourrait même être la première cause, bien plus
que l’alimentation, les pesticides, la pollution, l’amiante, le tabac, l’alcool,
 l’hérédité et les traumatismes psychologiques. Voici des éléments qui
confortent cette opinion :Le cancer est très rare dans les sociétés
 traditionnelles (*) dont certaines sont pourtant
soumises à des niveaux de pollution à peu près équivalents aux nôtres. Mais les
populations y sont vraiment trop pauvres pour avoir des dents dévitalisées. A
l’étranger, notamment aux Etats-Unis, en Allemagne et en Suisse allemande,
comme certains médecins francophones l’ont observé (*), il existe des
dentistes qui proposent aux personnes malades l’élimination des dents
dévitalisées. C’est aussi ce que fait une clinique suisse allemande qui a traité
 des milliers de personnes malades (*) et qui se situe dans le canton où
 les personnes sont les moins malades de toute la Suisse (*). Un éminent
cancérologue allemand, feu le Dr. Joseph Issels, qui fut aussi responsable
du programme de lutte contre le cancer du gouvernement fédéral allemand,
 insistait pourfaire systématiquement enlever toutes les dents dévitalisées
de ses patients (*). C’est aussi ce que conseille une scientifique canadienne
 le Dr. Hulda Clark, professeur de biologie en université et auteur de
nombreux best-sellers aux Etats-Unis. (*). On sait aussi que les français
consomment bien plus de médicaments et ont plus de cancers que les
 autres européens. Etonnement, ils possèdent aussi deux à trois fois plus
de dents dévitalisées que les autres européens comme une enquête nous
l’a appris. En France, quelques rares médecins et dentistes ont fait
de l’élimination des dents dévitalisées, le critère essentiel de réussite
de leurs traitements médicaux. En milieu hospitalier à Paris, un
chef de service de stomatologie a même écrit un ouvrage (*) qui justifiait
l’extraction de toute dent dévitalisée quelque soit la pathologie générale,
car il considérait leur stérilité illusoire (*). Un médecin de Grasse a fait
de même pendant unequarantaine d’années (*). Un dentiste de Cannes
a aussi alimenté notre site internet, notamment de plusieurs heures de
vidéos d’améliorations de santé surprenantes après extractions de dents
 dévitalisées (*). Il a été interdit d’exercer par l’Ordre des dentistes.
Les dépenses de santé sont aujourd’hui devenues gigantesques. La dent
 dévitalisée nous semble en être la principale cause, même si
paradoxalement elle est aussi la moins connue du grand public. Face à
 l’inaction des corporations médico-dentaires, voire parfois à leurs tentatives
d’occultation de ce sujet très contrariant pour certains, et face au scepticisme
 des médias et des politiques noyés sous une pléthore d’informations
médicales de moindre importance, il nous est donc apparu essentiel de
soutenir cette information.
Jean Pierre Garel, Dr. es Sciences, biologiste et Directeur Honoraire de Recherche au
C.N.R.S. et Michel Raynaud, Dr. es Sciences, enseignant à l’Université des Sciences de
Toulon. Pour plus de renseignements contacter :
Michel Raynaud, email : michelraynaud98@yahoo.fr
(*) : Pour des raisons de place, pour accéder aux références citées au niveau des (*), il
suffit de se rendre sur l’équivalent de ce texte, présent sur le site internet :
www.sante-dents.com et de cliquer sur les (*).